La cabane à sucre
Publié le 9 Août 2009
Après la réserve, nous allons à la cabane à sucre au milieu d'une forêt d'érables évidemment.

On nous explique comment l'eau d'érable est récoltée, cuite pour arriver dans les boîtes de mon figidaire.
Ensuite, on a droit à un repas pantagruélique que je n'ose détailler ici de peur d'effrayer le lecteur.
Le repas se termine par une joyeuse danse et par une "tire".



On nous explique comment l'eau d'érable est récoltée, cuite pour arriver dans les boîtes de mon figidaire.
Ensuite, on a droit à un repas pantagruélique que je n'ose détailler ici de peur d'effrayer le lecteur.
Le repas se termine par une joyeuse danse et par une "tire".


Voilà, c'est la fin du voyage : direction l'aéroport de Montréal, où il faudra patienter pendant 4 heures avant l'avion de 23 h 30. Rien à y faire, sauf un café et quelques boutiques de souvenirs. Le voyage du retour n'est pas spécialement reposant, impossible de dormir lorsque l'on vous fait manger à minuit et demie, puis qu'on vous explique qu'à Paris c'est 10 heures heure locale à 2 h de l'atterrissage, et encore un goûter une heure avant d'arriver. Pénible un peu !
La douane française est une plaie aussi, comme l'attente interminable pour les bagages. Je m'endors cinq minutes dans le taxi sur le périph parisien...en rêvant aux baleines de Tadoussac !
La douane française est une plaie aussi, comme l'attente interminable pour les bagages. Je m'endors cinq minutes dans le taxi sur le périph parisien...en rêvant aux baleines de Tadoussac !
